« Dans les seuls territoires français d’Afrique, il y a des centaines de jeunes protestants, qui se préparent à être demain ingénieurs, administrateurs, médecins, techniciens de tous ordres, instituteurs, pasteurs, hommes politiques aussi… En dehors de tout système et sans arrière pensée de consolider, fût-ce en la transformant, la domination française, qui niera que les protestants français, et en premier lieu notre jeunesse, ait un témoignage à apporter à ces jeunes protestants africains ? Sinon que signifierait la communion fraternelle ? »
Source : « Nouvel aspect de la tâche missionnaire »,Réforme, 2 avril 1955, n° 524, p. 2.
A l’hôpital luthérien de Fort Dauphin (Tuléar), 1957.